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Les plus riches en France (1200-1900)

Militaires, ecclésiastiques, magistrats, médecins, nobles, propriétaires... Jusqu’au XIXe siècle, ceux qui n’étaient ni paysans ni artisans ni ouvriers représentaient « la France riche ». Mais quels étaient leurs niveaux de fortune respectifs ? Quelles évolutions selon les siècles et les catégories ?... Les généalogistes et historiens des familles manquent souvent de points de repères, ce livre leur en fournit.

Les plus riches en France (1200-1900)

SKU : 978-2-35077-460-2
15,00 €Prix
  • Militaires, ecclésiastiques, magistrats, médecins, propriétaires... Jusqu’au XIXe siècle, ceux qui n’étaient ni paysans ni artisans ni ouvriers représentaient « la France riche ». Mais quels étaient leurs niveaux de fortune respectifs ? Quelles évolutions selon les siècles et les catégories ?...

    Les généalogistes et historiens des familles manquent souvent de points de repères, ce livre leur en fournit. Il reprend en effet un ouvrage de 1909 de l’historien et économiste Georges d’Avenel (1855-1939), qui avait pour cela collecté et exploité 60 000 prix d'articles et de biens de toute nature sur six siècles et sur toute la France puis publié des synthèses par profession.

     

    Avant lui, porter un regard juste sur des périodes qui se perdent dans la brume de l’histoire semblait hors de portée. Cinq ou six générations d’avocats du XV e au XVIIIe siècles, des dynasties de capitaines d’armes, des familles de bourgeois qualifiés de rentiers, des lignées de chirurgiens antérieures à la Révolution, etc., cela signifiait quoi exactement ? Exerçant les mêmes fonctions, un homme et son petit-fils partageaient-ils pour autant le même statut social ? le même niveau de fortune ? À titre égal, y avait-il comme aujourd’hui des écarts selon le lieu d’exercice, à la campagne, dans une ville de province ou à Paris ? Les anciennes dissensions si souvent rappelées entre médecins et chirurgiens d’Ancien Régime avaient-elles des incidences concrètes sur le terrain ou n’étaient-elles que des rodomontades de la Faculté de médecine ? Les artistes connaissaient-ils honneurs et fortune ? Les militaires, les enseignants, les premiers fonctionnaires au service de l’État avaient-ils un rang à part dans la société et lequel selon les époques ?...

     

    Autant de questions auxquelles ce livre apporte les réponses. S’y ajoute aussi, cerise sur le gâteau, le plaisir de lecture d’une écriture très « vieille France », d’un texte d’une folle érudition, nourri d’exemples incroyablement parlants. À vous maintenant d’en tirer le meilleur parti, « la substantifique mœlle » dirait Rabelais, pour vos travaux d’histoire ou votre généalogie !

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