La généalogie en plein essor nous rend curieux de tout : elle nous donne envie de découvrir l'histoire des métiers de nos ancêtres, mais aussi d'apprendre de façon plus individuelle et familiale de quelle façon ils les ont pratiqués, d'accéder à leurs dossiers de carrière...
En quelques années, les bases de données thématiques se sont multipliées, les centres d’archives ont ouvert largement leurs fonds. On peut désormais découvrir des éléments précis sur des parcours professionnels du passé, même très modestes, et des informations sur des personnes, pas seulement sur l’histoire d’un métier en général. Avec 223 entrées principales et 1 500 métiers associés, ce dictionnaire innovant ouvre véritablement les portes du passé professionnel de vos ancêtres.
Les métiers de nos ancêtres : archives, musées et bases de données
Couteliers, tisserands, scieurs de long, bergers, terre-neuvas, cabaretiers, collecteurs d’impôts, garde-champêtre, forain, charpentier, ouvrier du rail... Ces professions – et bien d’autres encore – peuvent avoir été exercées par un aïeul plus ou moins lointain.
Or la généalogie en plein essor nous rend curieux de tout : elle nous donne envie de découvrir l'histoire de ces métiers, mais aussi d'apprendre de façon plus individuelle et familiale de quelle façon nos ancêtres les ont pratiqués, d'accéder à leurs dossiers de carrière, de reconstituer leurs évolutions...
En quelques années, les bases de données thématiques se sont multipliées, les centres d’archives ont ouvert largement leurs fonds. On peut désormais découvrir des éléments précis sur des parcours professionnels du passé, même très modestes, et des informations sur des personnes, pas seulement sur l’histoire d’un métier en général. Même si toutes les activités ne sont pas égales devant les archives, avec 223 entrées principales et 1 500 métiers associés, ce dictionnaire innovant ouvre véritablement les portes du passé professionnel de vos ancêtres.
Pour chaque métier, il fournit :
– une courte définition et les activités proches ou associées de la même filière professionnelle
– les indications des bases de données Internet ou de fonds d’archives utiles sur ce thème. C’est pour les généalogistes, les historiens ou les curieux, le cœur de l’ouvrage puisque cela donne des pistes, parfois méconnues, pour renouer avec l’histoire familiale du métier. Une démarche qui sort de la traditionnelle quête de noms et de dates dans l’état civil ancien et qui bouleverse l’approche des documents du passé
– des adresses de musées thématiques à voir sur le métier qui vous intéresse
– des illustrations sur le métier ou des reproductions de documents d’archives
– souvent une petite information originale en plus, en encadré, juste pour le plaisir !
Bonne lecture puis bonnes recherches !