En généalogie, lorsqu’on remonte le temps, les noms et les prénoms peuvent jouer des tours auxquels on ne s’attend pas et la recherche s’en trouve compliquée. Ce livre démonte tous les pièges un par un.
Voir aussi sur YouTube les vidéos de Mathilde Morin sur le sujet, entre autres pour certains pièges des prénoms ou pour l'orthographe des noms.
Les difficultés posées par les noms en généalogie
On croit connaître le nom et le prénom de son arrière grand-père, soldat tué en 1915, mais on ne le retrouve pourtant pas dans les listes de morts pour la France.
On tient pour acquis le patronyme que l’on porte mais on ne le repère pas dans les tables décennales du XIXe siècle...
En généalogie, lorsqu’on remonte le temps, les noms et les prénoms peuvent jouer des tours auxquels on ne s’attend pas et la recherche s’en trouve compliquée.
Ceux qui débutent en généalogie ignorent souvent que, jusqu’à l’entre-deux-guerres, beaucoup de nos aïeux ne portaient pas comme prénom usuel celui de l’état civil. Ils ignorent aussi que, dans de nombreuses régions, par exemple la Normandie, c’était le dernier prénom de l’état civil (et pas le premier comme aujourd’hui) qui était utilisé au quotidien. Ainsi, votre arrière grand-père, enregistré à l’état civil sous les prénoms de Marie-Louis-Victor, n’a peut-être été connu dans la famille que comme Victor ou comme Ernest ! Cette nouvelle édition détaille davantage tous les pièges que les prénoms peuvent poser.
Quant aux noms de famille, leur orthographe s’est figée en 1877, avec l’apparition du livret de famille. Plus vous remonterez votre arbre généalogique, plus vous trouverez de variantes orthographiques. Phonétiquement, le nom restait le même... à quelques exceptions près. Car certaines époques avaient l’habitude de traduire les patronymes, certaines régions celles de prononcer différemment certaines syllabes, ce qui entrainait des transformations des noms lors des déplacements des familles.
D’où l’utilité de ce guide pratique pour lever bien des blocages.